La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1520)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1517) -

- Oui Madame, affirma le jeune candidat...
- Alors penche-toi en avant et écarte bien tes jambes. Mais écarte aussi tes fesses avec tes mains, montre-nous ainsi bien exhibé, ton trou du cul…

Visiblement, il hésitait de faire ce qui était exigé avec une évidente gêne emplie d’une pudeur inutile et maladroite… Il reçut alors, d’emblée, une volée de 2 gifles qui le remit en place et qui eut pour conséquence de le faire obtempérer plus prestement. Puis sur un claquement de doigts du jeune Monsieur le Marquis d'Evans, esclave Joëlle vint vers moi qui demeurait humblement prosterné aux Pieds du Maître. S'emparant de ma laisse, elle me fit avancer en quadrupédie jusqu'au garçon venu postuler pour un stage et qui restait parfaitement immobile, nu et montrant son cul écarté de ses propres mains. Saisissant à pleine main mes cheveux, Joëlle me força à me redresser jusqu'à enfouir mon visage dans la raie du futur stagiaire... Et naturellement je compris que cette position que l'on m'imposait voulait dire que je devais maintenant lécher la raie du cul et l'anus du jeune homme, ce que je m'appliquai à faire immédiatement et avec application… Mis à part un bref mouvement de surprise lorsque je passai la première fois ma langue le long de sa raie, le nouveau soumis faisait preuve d'une admirable retenue, restant parfaitement immobile et le cul toujours bien ouvert à mon appendice buccal. Je sentais le goût âcre de son anus dans ma bouche et je poussai lentement ma langue aussi profondément que possible, sentant qu’on poussait mon visage d’une main puissante placée derrière ma nuque et m’imposant le rythme m’obligeant à aller et venir le long d'une raie parfaitement lisse, puis d’y réintroduire ma langue agile et baladeuse…

Et je m'activais ainsi de longues minutes. C'est Chloé qui vint parfaire à ce moment, puisque manifestement, cette séance dans son bureau entrait dans le cadre de la Volonté du jeune Noble de façonner Sa soumise en dominatrice ponctuelle.

En effet, si le jeune Châtelain Dominateur avait fait de la talentueuse financière Sa chose, Son objet sexuel, parfaitement dressée à satisfaire toutes Ses Exigences les plus perverses, Il avait également perçu en elle une autre facette, et voulait qu'elle laisse s'exprimer cette part de nature dominante sur des sujets jugés parmi les plus inférieurs, dont je faisais naturellement partie et sans doute aussi ce jeune homme dont le stage devait prendre une tournure à laquelle il ne s'était sans doute pas attendu… Sans ménagement, Chloé, la directrice financière, me lâcha la nuque même je continuais par la suite à garder le même rythme, ma langue toujours entre les parois de l’anus masculin. Chloé passa devant le jeune homme et sur l’ordre du Maître orchestré par un claquement de doigts, elle défit de suite le bas de son tailleur pour laisser apparaitre son sexe parfaitement lisse et non dissimulé d’une inutile culotte qu’elle ne portait bien évidemment pas. Le jeune homme, dénommé Johan, approcha alors sa propre langue devant la chatte que lui présentait Chloé, avançant son bas-ventre… Cette dernière lui attrapa les deux oreilles et les tira en direction de son sexe épilé à la perfection, amenant ainsi la tête du soumis vers cette intimité. Ainsi Johan imprima une pression imposée par le nez enfoui sur le clito de Chloé et par sa langue sur les lèvres intimes… Je léchais donc le cul de Johan alors que ce dernier léchait le sexe de la belle financière, sous l’œil attentif du Noble…

Cela dura de longues minutes jusqu’à qu’elle se recula un peu, suite à un autre claquement de doigts du Maître, puis Chloé se réajusta, à la taille le bas de son tailleur, pour ensuite forcer le jeune homme à se redresser et à s'écarter pour la suivre… Quant à moi, je demeurai agenouillé, immobile, dans l'attente de l'utilisation qui serait peut-être faite de moi dans la suite de cet "entretien de recrutement". Mais je me trompais... Tandis que Chloé continuait de se "faire la main" sur son stagiaire, accompagnée et secondée par l'esclave Joëlle, Monsieur le Marquis n'en avait pas fini avec les châtiments qui sanctionnaient ma médiocre année universitaire.
.. Le Jeune Châtelain se leva et d'un claquement de doigts m'intima l'ordre de Le suivre hors du bureau. Je Le suivis donc jusqu'au bureau voisin de la secrétaire et le Maître lui donna l'ordre de faire ce qui avait été prévu. Puis Il retourna dans le bureau de Chloé, tandis que la secrétaire, sac à main en bandoulière et sans un mot, s'emparait de la laisse et me menait ainsi, nu à quatre pattes dans les couloirs feutrés d’épaisses moquettes à fines rayures blanches sur un fond de couleur bordeaux... Bien qu'ayant désormais parfaitement assimilé ma condition d'esclave, je ressentais comme une honte intérieure m’envahir et forme de peur latente se profiler d'être ainsi promené dans ces couloirs de cet immeuble cossu, plus une banque d'affaires qu'un donjon BDSM !

La secrétaire me fit entrer dans un ascenseur et une fois la porte refermée, elle m’imposa de me pencher à mon tour en avant, les bras bien plaqués contre la barre de soutien de la glace murale. Puis elle sortit de son sac à main un énorme et long plug à 5 boules allant de la plus petite à la plus grosse, au fur et à mesure de l’intromission du sextoy. Je sentis amplement quand elle le présenta, l’extrémité conique à l’arrondie lubrifié s’enfoncer dans mon fondement profondément jusqu’à ce que la cinquième et dernière boule d’un bon diamètre encombra, dilata mon anus offert. Puis, je pus me redresser ainsi plugué. Ensuite, nous effectuâmes une descente de plusieurs étages dans le silence le plus complet. Lorsque la porte s'ouvrit, nous étions manifestement dans les sous-sols du bâtiment. Ici plus d'épaisse moquette, ni de toiles aux murs, juste l'éclairage blafard d'un néon tremblant, des murs blanchis à la chaux et une dalle au sol de béton brut sur lequel j'écorchais la fine peu de mes genoux...

Il y avait plusieurs portes épaisses et en métal peint d’un horrible gris, genre grosse porte de garages souterrains... La secrétaire en ouvrit une et me fit entrer dans une petite pièce, seulement éclairée par une ampoule pendant du plafond.
Il n'y avait pour tout ameublement qu'un vieux lit métallique à barreaux et un tout aussi vieux matelas souillé de nombreuses tâches indéterminées. La secrétaire me fit asseoir au pied du lit, sur le matelas, avec toujours le plug enfoncé qui s’empalait encore plus. Mes jambes passaient entre deux barreaux, les cuisses largement ouvertes, laissant bien en vue mon petit sexe encagé. Elle m'attacha les poignets dans le dos, faisant ensuite passer le lien par l'anneau de mon collier, puis le croisa sur ma poitrine et dans mon dos, jusqu'à attacher mes genoux, mes cuisses, mes chevilles aux barreaux. Puis elle me posa un bâillon à anneau-cercle ouvrant largement ma bouche, la contraignant à rester ainsi offerte en permanence. Elle se saisit d'un épais marqueur et inscrivit quelques chose sur mon front, mais j'ignorais quoi... Puis elle quitta la petite pièce sans un mot et je demeurai ainsi, nu, ouvert, ignorant de ce qui allait suivre, même si la façon dont j'étais exposé ne laissait guère de doutes sur ce qui m'attendait...

L’attente dura une dizaine de minutes jusqu’à que la porte s'ouvrit, laissant entrer un homme en costume, qui portait un masque blanc. Sans un mot, il baissa sa braguette, exhibant un sexe court mais épais et l'enfonça dans ma bouche. Entravé, contraint à la plus totale immobilité, la bouche e à demeurer largement ouverte, je dus ainsi subir une longue pénétration jusqu'à ce qu'un épais jet de semence inonde ma bouche et coule lentement dans ma gorge... l'homme alors se retira et se déplaça un peu en retrait dans la pièce, tandis qu'un autre homme entrait à son tour, exhibant à son tour un sexe déjà en érection qui vint remplacer le précédent dans ma gorge... Celui-ci était plus excité encore que le précédent et il pressait ses mains sur ma nuque afin de s'enfoncer aussi profondément que possible dans ma bouche offerte. C’est de cette façon qu’il me besogna abondement ma cavité buccale sans vergogne, prenant celle-ci pour ce qu’elle était devenue, à savoir juste un trou à se soulager en se vidant les couilles.
A peine avait-il joui ainsi à son tour, qu'un troisième homme entrait et venait le remplacer.

Ils furent ainsi huit à venir remplir ma bouche et ma gorge de leur semence épaisse et abondante. On se vidait aussi sur mon visage et je pouvais ainsi humer leur semence dégoulinante souillant mes joues et mon front. Dans l'humiliante position qui m'était imposée, dans mon immobilité e, je n'étais plus qu'une chose, un réceptacle à sperme que ces hommes venaient remplir en prenant leur plaisir de façon mécanique. Epuisé par ces pénétrations répétées, j'entendais aussi les commentaires méprisants de ces mâles qui ne se privaient pas de comparer leurs ressentis et de se moquer de cet objet servile qui leur avait été offert afin de satisfaire un pur besoin masturbatoire. C’est par leur conversation que je compris que c'est le mot "trou" qui avait été inscrit au marqueur sur mon front. Et en effet je n'étais que cela, un trou, un orifice dénué de toute humanité installé là pour être utilisé, rempli, et puis délaissé. Lorsque le huitième eut déchargé une abondante quantité de semence par flots saccadés sur ma langue, certains émirent l'envie d'y revenir. Et donc, à plusieurs reprises, ma bouche fut à nouveau mise à contribution pour recevoir de nouvelles giclées de sperme. Deux profitèrent même de ce trou pour se soulager en urinant dans ma bouche et sur mon visage. Puis, satisfaits, ils sortirent sans accorder la moindre attention supplémentaire à ce qui n'était qu'une misérable créature. Et je demeurai là, toujours entravé, abandonné à une introspection qui me faisait mesurer combien j'allais devoir redoubler d'efforts afin de ne plus décevoir le Maitre, le jeune Monsieur le Marquis Edouard d'Evans que j'admirais tant et que je désirais plus que tout satisfaire aussi pleinement que je le pourrai, corps et âme... Il n'y avait plus que moi et le silence, dans cette cave sinistre, je puais le sperme et l’urine, je me sentais sali, souillé. Et j'étais comme abandonné pour mieux apprendre à me comporter en esclave dévoué...

(A suivre …)

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